Train de vie et ministère trop coûteux : ces incroyables gaspillages d'argent public...

Publié le par Ricard Bruno

Et après cela les politiques nous disent quoi faire...ben voyons, "Faites ce que je dis, pas ce que je fais"...

BR

 

Un ouvrage intitulé "Livre noir des gaspillages 2022, 100 gaspillages hallucinants payés par nos impôts", revient sur les dépenses les moins efficaces de l'argent public. Le Parisien a listé les plus marquantes. 

L'association Contribuables associés vient de publier un livre qui devrait faire réagir la majorité des Français.

Intitulé, "Livre noir des gaspillages 2022, 100 gaspillages hallucinants payés par nos impôts", l'ouvrage liste les dépenses de l'argent public qui n'ont, la plupart du temps, abouti à rien ou à très peu de choses. Si le livre reste à charge envers les personnalités politiques françaises, certains passages méritent d'être rapportés au grand public. Le Parisien a listé les plus impressionnants. 

En 2021, dans un référé public, la Cour des comptes avait critiqué la gestion des dépenses du ministère des Outre-mer lorsqu'il était dirigé par Annick Girardin. Tout d'abord, la Cour des comptes avait taclé la grandeur du cabinet d'Annick Girardin qui était composé de neuf membres et 56 agents. Mais surtout, les magistrats avaient vivement critiqué les frais alimentaires de ses conseillers : "Pour assurer l'alimentation d'une équipe de 10 puis 15 conseillers de mai 2017 à novembre 2020, 726 599 euros auront été dépensés en frais de bouche, soit 15 800 euros par mois en moyenne", peut-on lire dans le rapport relayé par Le Parisien.  

En 2020, la ville de Paris avait décidé d'installer des urinoirs solaires dans le nord de la capitale pour un coût de 40 000 euros. L'urine récoltée devait se transformer en engrais à l'aide d'une pompe, mais ils n'avaient pas prévu que la verdure installée sur le toit de l'urinoir allait créer de l'ombre et empêcher le soleil de faire son travail. 

Dernier projet, et celui-là n'aura pas vu le jour, une voie de covoiturage sur l'A15 entre Franconville dans le Val-d'Oise et Gennevilliers dans les Hauts-de-Seine. Face à la fronde des habitants des villes bordant cet axe routier, le projet a rapidement été abandonné alors que cinq millions d'euros avaient déjà été dépensés. 

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